Nature ....
" Il n'est pas nécessaire de courir le monde , de traverser océan et jungle pour sentir le charme des nuées , la sève des arbres , le langage des rivières et des nuits . "
Joseph Kessel
Joseph Kessel
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samedi 26 décembre 2015
Tendresse ....
“Le plus beau cadeau que l'on peut faire à un enfant n'est pas tant de l'aimer que de lui apprendre à s'aimer.”
Jacques Salomé
jeudi 24 décembre 2015
Choeur du coeur ......
Pour connaître la légende de ce cantique , allez chez Jean , clic .
Joyeux Noël , douce nuit à chacun .
jeudi 17 décembre 2015
Le jet d' eau ....
Le jet d'eau et le réservoir
Dans un parc dessiné d'après les meilleurs plans.
Un jet d'eau dans les airs s'élevait sous l'ombrage.
Et retombait à travers le feuillage
En perles, en rubis, en globules roulants.
Notre jet d'eau s'oublie, ainsi que c'est l'usage
Dans un parc dessiné d'après les meilleurs plans.
Un jet d'eau dans les airs s'élevait sous l'ombrage.
Et retombait à travers le feuillage
En perles, en rubis, en globules roulants.
Notre jet d'eau s'oublie, ainsi que c'est l'usage
(On a vu, de tous temps, les sots se prévaloir) ;
Il insulte dans son langage
L'onde obscure du réservoir,
Qui subvenait à tout son étalage.
Vois, lui dit-il, ce pompeux appareil,
Si jusqu'à moi peut arriver ta vue ;
Vois ces gerbes d'argent dont s'enrichit la nue,
Et que j'oppose aux rayons du soleil.
Il insulte dans son langage
L'onde obscure du réservoir,
Qui subvenait à tout son étalage.
Vois, lui dit-il, ce pompeux appareil,
Si jusqu'à moi peut arriver ta vue ;
Vois ces gerbes d'argent dont s'enrichit la nue,
Et que j'oppose aux rayons du soleil.
À quoi sets-tu, misérable eau dormante?
Quand je m'élève aux cieux, à mes pieds tu croupis ;
Ton voisinage me tourmente.
Et gâte bien souvent les lieux que j'embellis.
Comme il parlait, un des canaux se brise :
Au fond du réservoir, il s'entrouvre un chemin.
Et soudain
L'onde sourd, décroît, coule et s'épuise ;
Vous eussiez vu les rubis s'exhaler ,
Toutes les gerbes disparaître
Et les perles dégringoler.
Notre orgueilleux commence à se connaître :
Il baisse, il tombe, il ne peut plus aller.
Il est à sec.
Vous devinez peut-être
De ma fable quel est le sens :
Appauvrissez le peuple, adieu l'éclat des grands.
Quand je m'élève aux cieux, à mes pieds tu croupis ;
Ton voisinage me tourmente.
Et gâte bien souvent les lieux que j'embellis.
Comme il parlait, un des canaux se brise :
Au fond du réservoir, il s'entrouvre un chemin.
Et soudain
L'onde sourd, décroît, coule et s'épuise ;
Vous eussiez vu les rubis s'exhaler ,
Toutes les gerbes disparaître
Et les perles dégringoler.
Notre orgueilleux commence à se connaître :
Il baisse, il tombe, il ne peut plus aller.
Il est à sec.
Vous devinez peut-être
De ma fable quel est le sens :
Appauvrissez le peuple, adieu l'éclat des grands.
Claude Joseph Dorat
vendredi 11 décembre 2015
lundi 7 décembre 2015
Mimétisme ....
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