Sans frontières fixes
Bienheureux les fleuves
qui n’ont pas de frontières
et bienheureux les vents
qui sautent les murailles :
ils sont du pays où ils respirent ;
bienheureuse la nuit,
que partout on accueille
comme une amie de toujours
et bienheureux le hêtre
qui partage son hasard
avec le tremble et l’églantier
Ah, faites-moi un homme
comme une rivière
comme un vent comme un arbre
jouissant du droit du ciel
citoyen du jour où son regard se pose.
Jean Pierre Siméon
Rho....magnifique photo !
RépondreSupprimerBises
Bonjour Erato,
RépondreSupprimerCette photo est sublime, belle journée, bises !
De toute beauté !
RépondreSupprimerJ'adore ce graphisme végétal!
RépondreSupprimerJ'aime l'écriture de Jean-Pierre Simeon et ton tableau fleuri de coquelicots est magnifique !
RépondreSupprimerTellement beau, magnifique!!! Bise et bon vendredi dans la joie!
RépondreSupprimerJoli contraste entre les 2 couleurs ! Le poème est très beau
RépondreSupprimerbises et bonne soirée
Bosoir,
RépondreSupprimerQue du bonheur pour cette fin de journée avec une si belle photo.
J'approuve et fait mien les mots de Jean Pierre Siméon.
Bonne fin de soirée
Bises
Très beau texte.
RépondreSupprimera bientôt
lyly
Trop chouette ta photo, superbe texte pour l'accompagner... j'adore, bises
RépondreSupprimerTout est beau... je découvre le poème, il est magnifique !
RépondreSupprimerAh si les poètes pouvaient être entendus, si la nature savait parler, nous finirions peut-être par vivre dans un monde meilleur...
Merci pour tout, Andrée.
Bisous et douce journée.
Oh là là admirable.
RépondreSupprimer